Puisque rien ne suffit.

Les ApAches débArquent de leur peinArde PAnAme nAtAle. Canne à la taille, plume au vent et envie d’en découdre, c’est sous la houlette de leur leader, le discolonel Jeff (cf. infra), que ces scalpeurs de canettes s’entraînent à lever le coude pour préparer leurs coups.
Virant, voltant, vidant, volant, ils incarnent à leurs propres yeux, par le biais de ce que tout-un-qui-de-droit pourrait vulgairement nommer « hypertrophie malléolaire », « la quintessence de la recrudescence des réminicences des absences de leur adolescence » ou, pour ne pas avoir l’air d’omettre d’être plus clair (amusez-vous), « l’hypersubstance rétrorémanente de leur polymorphisme idiosyncrasique« .


H
AhA

« Pas besoin de devise, nous avons de l’humour », telle est notre devise, qui pourra éventuellement se muer en « Pas besoin de parades, nous avons des protections » si l’occasion se présente ou si quelque paradoxe malin y était détecté par nos détracteurs.
A ce propos, des rumeurs circulent déjà à notre sujet selon lesquelles (ce ne serait pas des rumeurs si je ne vous les divulguais point) nous serions un certain nombre dans nos rangs. Je vous le dis tout de suite : ces vilipendages ne sont pas fondés.
J’ai également entendu dire qu’il résidait dans nos propos comme une absence totale d’air sérieux, ce à quoi je ne prêterai pas plus d’attention que l’évocation que vous êtes en train de lire, étant entendu que nous en sommes aussi pourvus qu’un pilote de cargo de limes diamantées en perdition au-dessus Guantanamo.

Attachez vos OGM, Arrachez vos ceintures et venez donc Apacher avec nous!


Le X

Dj, light my fire

Miladiou moins 7 jours. Entrainements Disco avec le capitaine des Apaches aux platines, ca chauffe, ca chauffe!

D’ailleurs, le voici qui nous parle:

Je m’adresse à mes camarades ApAches : la saison déjà bien engagée par nos entraînements démarre concrètement cette semaine à Rodez, Aveyron.

J’aime la province et la campagne surtout quand elle va vite en TGV ; manque de bol, on est parti pour 16h de train… qu’une grève pourrait encore fortuitement nous épargner. Qui sait… !

L’incertitude brise la volonté, brise la liberté ! Non ! Les ApAches ne se laissent pas aller au tourment existentiel. Il est un déterminisme certain qui leur fera tout supporter (le train, le froid, la solitude, les sandwichs beurre mous, voire même une défaite toute relative).

Celui qui nous imposera comme les incontournables, les incontestables challengers de l’ordre établi.

Cette année, les ApAches raniment le coeur de la grande, la belle, la noire et sauvage Paname ; Cette année, les ApAches brandissent leur cannes et s’élève alors du fond de leurs coeurs une rumeur assourdissante : celle de leur force, de leur volonté inébranlable d’être craints, de combattre et de vaincre.